Rapport violences r...
 
Share:

Rapport violences routières

2 Posts
1 Utilisateurs
0 Reactions
127 Vu
Membre
Inscription: Il y a 2 ans
Posts: 240

   
Citation
Membre
Inscription: Il y a 2 ans
Posts: 240
Début du sujet  
Page 52 et 53 du rapport il y a des éléments intéressants
"À l’inverse, le retour d’expérience est suffisamment important pour proscrire certaines mauvaises pratiques d’aménagements de l’espace publics, soit parce qu’elles mettent en danger les usagers, soit parce que leur conception même est génératrice de conflits. L’exemple le plus emblématique est celui des pistes cyclables situées sur les trottoirs ou au même niveau que les trottoirs avec une simple bande de peinture pour délimiter l’espace dédié à chaque type d’usager. Il en résulte des situations de confusion et de tension d’usage. Surtout, les trottoirs partagés par les cyclistes et les piétons soulèvent un enjeu de conformité à la loi n°2005-102 du 11 février 2005 pour l'égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées en raison des problèmes d’accessibilité pour les personnes en fauteuil roulant ou celles atteintes de déficience visuelle.
Il y a une photo d'illustration avec la légende suivante : "Exemple d’un trottoir partagé en milieu urbain dense, aménagement non conforme au code de la route (art. R412-34) et qui, de surcroît, méconnait les besoins des personnes en situation de handicap visuel."
Et le dernier paragraphe suivant : "C’est le cas également de certaines voies vertes en milieu urbain dense, notamment lorsqu’elles sont d’une distance limitée et ne s’inscrivent pas dans une logique d’itinéraire structurant. Elles peuvent se révéler inadaptées en cas de trafic cycliste dense, notamment si leur largeur ne permet pas une cohabitation harmonieuse entre usagers."
En d'autres termes l'inspecteur général de l'administration Emmanuel Barbe déclare non conformes de nombreuses "pistes cyclables".

   
RépondreCitation